L'ambassadeur angolais en France, Miguel da Costa, a éclairci cette fin de semaine que la position de l'Angola vis-à-vis de Côte d'Ivoire était inéquivoque: le gouvernement appuie la position assumée par l'Union Africaine et démenti les rumeurs propagées par l'Agence France Presse qu'il y avaient des troupes angolaises dans ce pays. "c'est une fausse nouvelle", a-t-il affirmé.
Selon le chef de mission diplomatique angolaise en France, l'Angola avait prétendu éviterà tout prix qu'il y ait la guerre en Côte d’Ivoire, car si la démocratie est importante, la paix n'est pas moins importante".
Manuel da Costa a rappelé que l'ambassade a ouver des procés individuels des inscritspour le retour au pays et investir dans l'économie nationale, les ayant achéminés aux instances compétentes du gouvernement.
Une histoire de succès est celle de ma história de Dominique Lumingu, qui a vu les portes ouvrir dans le domaine de l'installation de projets dans la municipalité de Ganda, à Benguela et dans la municipalité de Tomboco, dans la province de Zaire. Le premier attend l'appro-bation, à courte terme, du Conseil des ministres.
Les participants ont demandé á l'ambassadeur les claircissements sur les manifestationseues à Luanda, la situation précaireá laquelle vit la ville historique de Mbanza Kongo; lesdifficultés douanières trouvées à l'importation de marchandises; la problématique de quelques étudiants qui ont conclu leurs études en France et n'ont pas les moyens de regagner le pays;les formes d'associations à caractère humanitaire d'appuyer les enfants angolais.
Selon Miguel da Costa, le gouvernement a autorisé les anifestations le 2 avrril, à Luanda,car ils ont été légalement sollicitées. Tout type de manifestation, à n'importe quel coin du monde, doit être annoncée des autorités constituées. Pour ce qui est le cas de Mbanza Kongo, n'est pas isolé, est l'un des maux résultant du long conflit.
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